Le festival de Cannes est lancé, et pour l’occasion il nous fallait une actrice, mais aussi une splendeur, une future star ! Visage de poupée, silhouette mortelle, c’est le cas avec Anastasia, sublime dans cette mise en scène en mode « fermière » ! Découvrez son interview et son shooting exclusif :
Playboy France : Peux-tu nous dire qui tu es ? Que dirais-tu à un étranger si tu voulais qu’il sache tout de toi (tes goûts, tes loisirs, ta personnalité, ta localisation, ton âge, tout ce que tu veux partager) ?
Je m’appelle Anastasia Durkot, j’ai 25 ans et je viens d’Ukraine. Je suis actrice, mannequin, et une âme créative passionnée par l’art, le mouvement et la liberté d’expression. J’aime la caméra, j’aime créer, inspirer, et savourer la vie — que ce soit sur scène, devant l’objectif, en voyage ou en dansant. Je vis avec le cœur mais je pense avec la tête. J’ai soif d’apprendre, de grandir, de me remettre en question. Mon rêve est de construire une carrière d’actrice à Hollywood — pas pour la célébrité, mais pour montrer que nous sommes tous uniques, et que tout est possible lorsqu’on croit en soi et qu’on n’a pas peur de rêver.
Comment es-tu entrée dans le mannequinat, et en particulier dans le domaine sensuel ou érotique ?
Tout s’est fait naturellement. Au départ, j’aimais simplement être photographiée, et j’ai eu la chance de collaborer avec le talentueux photographe David Dubnitskiy. C’est à ce moment-là que j’ai compris qu’un objectif ne capture pas seulement l’apparence, mais aussi la force intérieure. Le mannequinat sensuel est devenu une façon pour moi d’exprimer ma féminité et ma confiance. Il ne s’agit pas de dévoiler un corps, mais de faire rayonner une énergie profonde, authentique, brute — quelque chose qu’on ne peut pas tricher.



Quel est ton rapport à la sexualité et à ton propre corps ?
Pour moi, la sexualité est une puissance, une énergie qu’il faut accueillir et aimer. Mon corps ne se résume pas à son apparence — c’est mon instrument, mon refuge, mon langage avec le monde. J’en prends soin, je le nourris, et plus le temps passe, plus je me sens reconnaissante envers lui pour tout ce qu’il me permet de vivre.
Pourquoi as-tu voulu rejoindre la famille Playboy ?
Playboy, pour moi, ce n’est pas qu’une icône culturelle — c’est un symbole de liberté, d’audace et de puissance féminine. C’est une célébration de la beauté, mais pas uniquement physique. C’est l’affirmation de femmes qui n’ont pas peur d’être elles-mêmes, qui embrassent leurs désirs, leurs ambitions, leur vulnérabilité. Faire partie de Playboy, c’est pour moi affirmer ceci au monde : je suis là, sans peur, et je crée ma propre voie.
Quelles sont tes inspirations dans l’art et dans la vie ?
Je suis inspirée par les femmes qui forgent leur propre destin — des femmes fortes, passionnées, pleines de caractère. J’admire profondément Angelina Jolie pour sa force, sa profondeur et son élégance. Dans l’art, je suis attirée par tout ce qui sonne vrai — du cinéma à la musique, de la danse à la photographie. Je cherche l’émotion, la sincérité, tout ce qui peut toucher l’âme.


Quels sont tes projets en ce moment ?
Ce qui vient, c’est la croissance. De nouveaux projets, des cours de théâtre en anglais, du travail sur moi-même et mon portfolio. J’ai déjà commencé à poser les bases d’une carrière internationale, et je compte bien saisir chaque opportunité qui me rapproche de mon rêve.
Quels sont tes rêves aujourd’hui ?
Aujourd’hui, je rêve de décrocher un Oscar, d’incarner des rôles qui marqueront l’histoire, et de vivre une vie pleine de sens, d’art et d’amour. Je rêve d’inspirer les autres à travers mon parcours — pour montrer que lorsqu’on croit en soi, tout devient possible.



Photos : @dubnitskiy_david / @robertvoltaire / @oleg.borshchevsky