C’est encore grâce au travail d’Antoine Verglas que nous découvrons aujourd’hui une nouvelle playmate au prénom singulier : Aurora ! Bienvenue à elle, découvrez son shooting exclusif et son interview :

Peux-tu nous dire qui tu es ?
Je m’appelle Aurora — je suis à moitié polonaise, à moitié australienne, née à Sydney, et je parcours le monde avec un appareil photo dans une main et une grosse valise dans l’autre. Je suis allergique aux banalités et accro aux connexions sincères. Je suis modèle, photographe, et un paradoxe ambulant : sensible mais sauvage.
Comment as-tu commencé le mannequinat ?
Par accident, puis très délibérément. J’ai commencé à poser pendant mes études à l’université de Sydney — c’était un petit job d’appoint qui a fini par me happer entièrement. Après l’obtention de mon diplôme, j’ai construit ma carrière principalement en Europe, en travaillant avec des photographes et des artistes incroyables. Cela a été un voyage aussi sauvage que magnifique, et je ne l’échangerais pour rien au monde.
Quel est ton rapport à la sexualité et à ton propre corps ?
J’ai toujours porté la sensualité comme une seconde peau. Mais pour moi, la sexualité n’est pas une performance — c’est une énergie, une fréquence sur laquelle je me connecte quand je veux dire quelque chose sans employer de mots. Mon corps est à la fois mon refuge, mon œuvre d’art et, parfois, la voix la plus forte que je possède.





Pourquoi as-tu voulu rejoindre la famille Playboy ?
Parce que Playboy incarne une forme de rébellion sensuelle et intelligente — et j’adore ça. Cela a toujours été un espace pour des femmes qui s’approprient leur corps, leur image, leur récit. Je veux m’inscrire dans cette lignée : audacieuse, nuancée, farouchement féminine, et résolument libre de s’exprimer.
Quelles sont tes inspirations dans l’art et dans la vie ?
Richard Avedon, pour la lumière qui devenait piège — une fois que vous y entriez, il n’y avait plus d’échappatoire. Ellen von Unwerth, pour cette liberté de jouer — exubérante, glamour, sans jamais demander la permission. Erwin Olaf, pour ses mises en scène cinématographiques. Helmut Newton, pour sa puissance et sa provocation. Francesca Woodman, pour sa vulnérabilité spectrale.
Quels sont tes projets à venir ?
J’espère : plus d’art, de belles séances photo, de rires et d’aventures. Je vais bientôt partir en tournée en Europe pour des projets de mannequinat.
Quels sont tes rêves aujourd’hui ?
Vivre dans une belle maison près de la mer, un lieu où je pourrais créer librement, aimer profondément, et ne jamais me presser. Travailler avec des marques et des publications qui valorisent l’authenticité. Et aussi, lancer mon propre studio de photographie.





