Chanceux sont ceux qui ont pu accéder à ce petit club secret, select, chaleureux, vintage, érotique, rock et convivial où nous avons décidé de sortir de derrière votre site internet préféré pour faire vivre un peu la beauté de la marque Playboy dans la réalité et dans le centre de Paris !

La première soirée de l’année, et la première d’une longue série, notamment au « Black Cat » (la prochaine sera dès le mercredi 28 février et nous comptons pérenniser l’évènement toutes les deux semaines), s’est donc déroulée jeudi dernier, le 15 février, de 20 h à 2 h du matin, avenue Pierre Ier de Serbie. C’est simple, inutile d’être faussement humbles : tous les retours ont été dithyrambiques, à tous les niveaux et de tous les côtés, aussi bien des tenanciers que des clients et invités : cadre, boissons, tarifs, ambiance, clientèle, sécurité, organisation, splendeur des jeunes femmes qui nous honoraient de leur présence, et en nombre !, bonne tenue des hommes… Quand les filles ont toutes le sourire aux lèvres à la fin, c’est que la soirée est une réussite et c’est beaucoup plus rare qu’on ne le pense ! Nous avons réussi à nous amuser sans jamais le moindre sentiment de malaise, la moindre ambiance glauque (toujours le risque de la vie nocturne estampillée « sexy »), tout le monde a pu se parler aisément, danser, flirter, se rencontrer, rire, en toute sécurité mais aussi dans un grand sentiment de liberté qui devient introuvable à Paris. Avocats, étudiantes, mannequins, les mecs les mieux sapés de Paname, danseuses, artistes, hommes d’affaire, tous étaient aux anges.

Pour ne rien gâcher, les invités ont pu profiter de spectacles et de prestations à la sauce Playboy ! Deux magnifiques danseuses professionnelles aux chevilles fines mais aux déhanchés coquins sont montées sur la grande table de bois qui trône au milieu du club pour s’y trémousser dans les tenus mythiques des « lapines » de Playboy : petites oreilles, queue en pompon, nœud papillon et bandeaux aux poignets !

Un peu plus tard, c’est Scarlett Diamond, l’effeuilleuse burlesque qu’on ne présente plus, qui a proposé son show au grand plaisir de certains hommes choisis pour en profiter collés-serrés.

Et enfin, c’est la déesse Flexotika, sorte de fée entre la danseuse, la contorsionniste et l’envouteuse, qui est arrivé à quatre pattes de derrière le bar, comme une apparition, pour venir elle-aussi rejoindre la table et y proposer des mouvements qui ont halluciné tout  le monde.

LET ME BEND YOUR MIND de @flexotika

Le bouche à oreille fonctionne déjà à mort, mais nous vous le confirmons avec toute honnêteté par nous-mêmes : c’était merveilleux, et de loin la soirée Playboy la plus réussie à Paris depuis longtemps. Et si nous avions trouvé notre QG ? Vous voudriez en être ? Demandez vite à venir à la prochaine car cela risque d’être de plus en plus dur (ou plus cher pour les tables !) d’y entrer !