Véritable coup de cœur de la rédaction, Yoana Nikolova, 22 ans, est une tueuse au visage d’ange ! Elle a gentiment accepté de nous réserver l’exclusivité d’un shooting photo au bord de la piscine et de répondre à nos questions pour vous permettre de mieux la connaître !

Peux-tu nous dire qui tu es ? Que dirais-tu à un étranger si tu voulais qu’il sache tout de toi le mieux possible ?

Je suis une ancienne gymnaste rythmique nationale. Quand j’avais 3 ans, je suis tombée amoureuse de ce sport et j’ai grandi dans la salle de sport. J’ai été plusieurs fois championne de Bulgarie et j’ai pris la 4ème place aux Européens. 15 ans plus tard, j’ai trouvé mon deuxième amour, et c’est le mannequinat.

Comment es-tu entrée dans le mannequinat et surtout dans le mannequinat érotique ou sensuel ?

En tant qu’artiste avec une personnalité audacieuse, j’aime expérimenter, explorer, créer et prendre des risques. C’est pourquoi je suis devenue mannequin. Je pense que tout le monde ne comprend pas l’art de la photographie de nu, mais l’art n’a pas besoin d’être compris. C’est tellement limitant de voir juste un corps nu sur la photo. En réalité, il y a une femme fatale avec une âme, un caractère fort, du pouvoir, de la tendresse, qui s’accepte et s’aime pleinement. C’est très spécial quand on atteint ce niveau de liberté.

 

Quelles sont tes inspirations dans l’art et dans la vie ? Parce que tu as l’air d’une artiste pour moi.

Je vois tout ce qui m’entoure comme une source d’inspiration et cela me permet d’avancer. L’amour, la beauté et la créativité sont les choses que je veux partager et vivre avec les gens.

Que peux-tu nous dire sur ton avenir pro ?

En ce moment, je travaille sur quelques projets que je partagerai avec vous dans un proche avenir.

Pourquoi avoir voulu rejoindre la famille Playboy ?

Dans ce monde plein de filtres et de jugements, j’adore m’exprimer de manière honnête et ludique. C’est pourquoi je choisis la famille des lapins.

Quel est ton rapport à ton corps ?

En tant que gymnaste, je devais être très mince et j’étais tout le temps au régime. Bien sûr, cela m’a affectée et a même abîmé la perception que j’avais de moi-même. Au moment où j’ai arrêté le sport, j’ai commencé à aimer et accepter mon corps tel qu’il est et j’ai cessé d’en avoir honte. C’était la transition dont j’avais besoin et je suis très heureuse de ce changement.

Quels sont tes rêves ?

J’ai des rêves très simples – être moi-même, heureuse, aimante et inspirante.

Photographe : Jochen Martin Kretz